đź’ˇQuantonation, leader mondial des technologies quantiques

Press28 October 2019

Dans son Ă©dition du 23 octobre, La Tribune a dĂ©diĂ© un article Ă  Quantonation “Le pari fou du fonds français Quantonation“. A travers une interview de Christophe Jurczak, managing partner du fonds, le journaliste prĂ©sente le rĂ´le clĂ© de Quantonation dans l’Ă©mergence des diffĂ©rentes technologies quantiques. Le secteur prĂ©sente de nombreuses opportunitĂ©s de croissance pour les industries française (EDF, Total, Airbus, etc.) qui passent aussi par une prise de risque de la part des investisseurs institutionnels. L’apparition d’un acteur spĂ©cialisĂ© va permettre de soutenir cette croissance et le dĂ©veloppement des projets reflĂ©tant l’ambition de l’Europe en la matière.

Un exemple concret est la sociĂ©tĂ© française Pasqal, co-fondĂ©e par Quantonation, qui dĂ©veloppe un ordinateur quantique capable Ă  court-terme d’accĂ©lĂ©rer de nombreux calculs aujourd’hui encore difficile Ă  rĂ©aliser. Le tout en consommant dix fois moins d’Ă©nergie qu’un supercalculateur. Spin-off de l’Institut d’Optique Ă  Palaiseau, sa start-up exploite une filière d’excellence française: les atomes neutres refroidis par laser. Elle est incarnĂ©e par Alain Aspect, père de la seconde rĂ©volution quantique, et conseillers scientifiques de Pasqal.

Ceux deux initiatives dont l’Ă©quipe de Quantonation est Ă  l’origine s’inscrivent dans l’objectif de crĂ©er un Ă©cosystème quantique au niveau mondial. La France est en tĂŞte de l’Europe Ă  ce niveau lĂ  mais souffre tout de mĂŞme d’un retard par rapport aux US ou Ă  la Chine. Heureusement, l’excellence française en matière de recherche est un vivier inestimable permettant de placer nos projets en concurrence avec des Ă©quipes de recherche issues d’Harvard, Berkeley ou l’universitĂ© de Waterloo au Canada.

Retrouvez les articles complets ci-dessous.

Nous travaillerons d’ici deux ou trois ans sur un nouveau fonds qui prendra le relais de Quantonation sur le ‘growth’, c’est-Ă -dire les sĂ©ries B et au-delĂ . Les besoins seront importants : cĂ´tĂ© matĂ©riel notamment, les startups vont demander 100 millions d’euros, voire plus

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